Brassage de bière avec le Domaine les Cascades
Brassage de bière avec le Domaine les Cascades
Venez participer à un brassage et à des ateliers pour découvrir les matières premières de la bière.
Activité : Brassage de bière artisanale
Avec : Laurent et Sylvie Bachevillier
Dates : Tous les mercredis entre le 3 juillet et le 28 août, à 14h (soit 9 dates : 03/07, 10/07, 17/07, 24/07, 31/07, 07/08, 14/08, 21/08, 28/08)
Vigneron en permaculture au cœur des Corbières mais pas que : bière artisanale, olives, truffes, safran… Et pour faire partager notre passion nous vous recevons en gîte et chambre d’hôtes.
Nos valeurs : travailler la terre en accord avec la nature, et favoriser la biodiversité.
« On a été les premiers à produire de la bière artisanale dans le coin, maintenant il y en a partout. Mais nous sommes toujours les seuls à faire de la bière au raisin ! »
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domainelescascades.fr
Contactez-les :
Tél. 06 88 21 84 99
Mail : domainelescascades@yahoo.fr
Atelier cuisine à Cirès
Atelier cuisine à Cirès
Combiner les saveurs, jouer avec les cuissons, sublimer les produits locaux… Juan est un cuisinier hors pair qui aime se réinventer et surprendre ses hôtes. Il partagera avec vous sa passion au cours d’un cours de cuisine unique, dans le cadre magnifique d’El Almacèn de Cirès.
Activité : atelier cuisine
Avec : Juan, cuisinier
Dates :
- Mercredi 19 juin 2019 à 14h (6 places)
- Dimanche 8 septembre 2019 à 16h (6 places)
Depuis fin 2017, Anne et Juan ont fait de ce petit restaurant traditionnel de montagne, dans l’authentique vallée d’Oueil, un lieu atypique et attachant, où l’on sert de grands plats dans la simplicité d’une table d’hôtes.
« On veut qu’il y ait un visage derrière chaque produit »
Contactez-les :
Tél. 05 61 95 05 67
Mail : ciresvillage@gmail.com
Séances de cinéma avec Ciné 32
Séances de cinéma avec Ciné 32
Ciné 32 vous invite à assister à la séance d’ouverture ou de clôture du 22e festival Indépendance(s) et création, organisé par Ciné 32, du 2 au 6 octobre 2019.
Vous pouvez aussi assister à une projection quand vous voulez, à l’occasion d’une séance ciné de votre choix :
- Ouverture du festival le 2 octobre (limité à 5 places)
- Clôture du festival le 6 octobre (limité à 5 places)
- Séance ciné « libre » (limité à 5 places)
Ciné 32 est la preuve que l’on peut faire du cinéma associatif à grande échelle sans renoncer à ses valeurs. Créé il y a plus de 40 ans, l’association a bâti son propre multiplexe, à Auch. Un lieu chaleureux et atypique, où l’on peut voir toute la diversité du cinéma mais aussi débattre, rencontrer, manger de bons produits locaux…
« Le cinéma, ça va de l’art au divertissement, c’est important de ne pas créer des frontières. La diversité, c’est essentiel pour nous. »
Contactez-les :
L'autre visage de Kourou
Le petit théâtre de Maria
Difficile de croire que nous sommes dans un théâtre… Et pourtant, tout y est, quoiqu’en miniature : la scène, les chaises, que l’on a entreposées dans un coin entre deux représentations, les éclairages et le mythique rideau rouge… Ici, le public peut presque toucher les acteurs, et selon la maîtresse des lieux, l’émotion n’en est que plus forte. « C’est mieux une petite salle pleine qu’une grande salle vide ! », aime à rappeler Maria, qui accueille chacun de ses visiteurs dans un sourire généreux qui remplit l’espace et les coeurs.
En quelques années, elle a fait de ce petit local HLM, dans le tout nouveau quartier du front de mer, le Petit Théâtre d’Iguarapinga : un lieu plein de vie et de couleurs, à son image. Bien loin des bureaux du ministère du Travail qu’elle occupait à Natal, métropole du nord-est brésilien, jusqu’à ce que l’amour lui fasse prendre une toute autre route… Avec Pascal, son mari, elle a quitté son Brésil natal pour la Guyane d’abord, puis pour Carcassonne, où l’attendait un second coup de foudre : le théâtre. « Sur scène, il n’y avait rien d’autre, j’oubliais tout… C’est difficile à croire mais j’étais très timide à cette époque-là ; c’est le théâtre qui m’a ouvert au monde… » Et il ne l’a plus jamais lâchée. « Au début ça n’a pas été facile ; je suivais tous les stages et les ateliers que je pouvais. Un jour, un metteur en scène m’a montrée du doigt : « Toi, ne parles pas. » Il pensait qu’avec mon accent brésilien, je ne pouvais rien jouer… Heureusement que la suite lui a donné tort. »
En 1997, le couple est de retour en Guyane. Maria crée une association, Iguarapinga, avec laquelle elle participe au carnaval, enseigne le portugais dans les écoles, donne des cours de portugais… Puis en 2006, elle monte sa propre troupe, Les Bèts de scène, puis son Petit Théâtre, sept ans plus tard.
Aussi dévouée qu’exigeante avec ses élèves, tous amateurs, Maria met en scène une pièce chaque année. Du Toc, Toc de Baffie aux Monologues du vagin, la salle est si petite qu’il faut multiplier les représentations… à chaque fois une ambiance unique.
La scène du Petit Théâtre est ouverte à qui le veut : musiciens, conteurs… « Je veux que ça soit un lieu de culture et d’échanges, que ça vive ! » Tous les mercredis, c’est aussi au Petit Théâtre que les adhérents de l’Amap de Kourou viennent récupérer leur panier de fruits et légumes bio… « Je suis toujours partante pour tout, reconnaît Maria, j’ai toujours des projets. Le secret, c’est d’aimer ce que l’on fait. Quand tu as le plaisir, tu as l’énergie ! »
Retrouver les autres sujets de l’article dans le numéro #1 d’Oxytanie
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David, des deux côtés du Maroni
Entre Kourou et Cordes-sur-ciel, un lien très… spatial
Bienvenue à la ferme !
David Caumette, 36 ans, a un caractère inébranlable. C’est la première chose qu’on constate à son contact. Cet agriculteur a su s’adapter à un contexte difficile que traversent beaucoup d’agriculteurs. « Quand j’avais 15 ans, j’allais aux marchés aux bestiaux avec mon père. Je ne comprenais pas pourquoi des négociants fixaient des tarifs dégradants de vente des vaches. La loi du marché était inique », se rappelle David. « Forcément, mon père se retrouvait chaque fois la tête sous l’eau. » Diplômé d’un DUT de mécanique, il se retrouve professeur dans un lycée agricole. Quelques années plus tard, il en deviendra directeur. « On enseignait à des jeunes un métier qui ne leur permettrait pas de s’en sortir. » Le constat est là. Au même moment, sa femme, Laëtitia, lui fait voir la réalité : « Tu n’es pas heureux dans ce métier. » Après avoir étudié le pour et le contre, « le plus délicat a été d’annoncer à mes parents ma décision de quitter mon emploi de fonctionnaire pour relancer l’exploitation familiale. »
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L’info en +
Les Folies fermières, un « rêve »
« Rêve », c’est le titre du spectacle qui se tient après la visite de la ferme et le déjeuner servi par les producteurs. D’abord Valérie et Morgane, deux danseuses habillées de plumes et de colliers, entrent en scène, rejointes par Corinne, micro à la bouche, qui entonne ses premières notes, les projecteurs braqués sur les protagonistes sans oublier Charles en régie qui s’occupe de tous les détails techniques. Bien sûr, quand la mélodie de la chanson de Marylin Monroe, Diamonds are a girl’s best friends s’échappe, le public vibre. Car tout y est ! Les jambes longues, la voix, les plumes, les bijoux, la sensualité… Puis s’enchaînent très vite les morceaux La Java bleue, Mon Amant de Saint-Jean, etc. Dans les loges, les artistes s’agitent déjà en bas résille et froufrous. Puis c’est au tour de Laurent Dournelle, un ventriloque au talent fou de monter sur scène. C’est non sans humour qu’il agite déjà sa marionnette. Le public est hilare.
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